QUI EST L'ADMIN DU FAN CLUB JOHNNY CASH FRANCE ?
Bonjour à tous.
J'ai beaucoup de messages via Facebook ou Twitter et Email pour savoir qui est votre serviteur, l'administrateur du Fan Club Johnny Cash France et Europe depuis peu le plus ancien en Europe.
Alors mon prénom est Marco. Vous ne m'en voudrez pas de ne pas mettre mon nom de famille ici merci.
Mais plus tard si vous consultez les liens vous le verrez. Je suis né en Afrique de l'Ouest dans un pays anglophone le Nigeria dans la capitale Lagos (ville dans laquelle Paul McCartney enregistrera l'album Band on the run avec les Wings https://fr.wikipedia.orgalbum/wiki/Band_on_the_Run_(), dans une famille bourgeoise de fait, j'y grandi heureux avec mon frère et ma soeur. Nous bougeons dans d'autres pays entre autre á cause de la guerre du Biafra mais toujours en Afrique de l'ouest. Ecole le matin, pêche, bateau et ski nautique avec les copains copines de tous horizons l'après midi.
A l'age de rentrer au collège mes parents me mettent en pension à Lyon puis Perpignan. Scolarité dure et chaotique plus tard mais j'avance et surtout je découvre la musique occidentale, surtout le soir dans le dortoir grâce à mon grand père qui m'avait offert en cachette un petit transistor avec une oreillette je découvre la chanson française et surtout le rock'n'roll avec Max Meunier et "les routiers sont sympas" Jean Louis Foulquier et Patrice Blanc Francard sur France Inter et presque tous les soirs je m'endors avec la musique dans le creux de l'oreille.
En 1975 mais parents décident de rentrer en France, Paris et dans cette ville particulière qu'est Boulogne Billancourt. Ville à deux pas de Paris par la porte de St Cloud ou il y a encore les usines Renault en activité avec ses ouvriers et une partie bourgeoise vers le bois de Boulogne et les fameux studios de cinéma répartis sur toute la commune et de télévision. Et c'est à partir de ce moment là que je vois des paillettes dans mes yeux. Mon collège est à deux pas des studios de Solfèrino ou je vois défiler des Johnny Hallyday, France Gall, Eddy, Michel Berger des stars anglaises ou américaines et toutes les stars françaises du moment comme Joelle Mogensen d' Il était une fois qui deviendra comme une grande soeur et de tous leurs musiciens qui venaient nous défier pendant leurs pauses au baby foot ou avec mes copains nous étions souvent ou nous pouvions nous échapper aux intercours et récréations c'est à dire souvent et des studios Pathé Marconi de la rue de Sèvres ou sont venus les Stones pour enregistrer Start me up et Black limousine parmi de grands groupes Pink Floyd, Keith Moon et les Who, les frères Young d'AC/DC, de nombreux autres stars et grâce à Bernie et Nono de Trust je fus inviter au Stadium dans le 13 arrondissement un 13 Novembre 1978 avec un after fameux au Rose Bonbon, la seule fois que je vis Bon Scott au chant et plus tard les concerts du Bourget. Et nombre de groupes français comme les Rita, Starshooters, Téléphone etc sans savoir que nous travailleront ensemble plusieurs années plus tard. Et ces deux studios auront pour moi une incidence pour la musique. Je suis fan de musique. Alors je me cherche un instrument, j'essaie la guitare mais mon père et mon petit frère en jouent alors j'hésite entre les synthétiseurs et la basse. C'est à Solfèrino que je rencontre Yannick Top le bassiste de nombreux chanteurs et chanteuses qui me donnera des cours et m'apprit mes premiers accords de basse et plus tard les accords de quintes qui me serviront.
Et je décide de devenir bassiste tout en gardant un mini Moog et un ARP Axe en synthétiseur dans ma petite chambre de bonne avec ma petite amie du 16 ème Christelle car mon père me vire de l'appart familial, j'ai tout juste 18 ans et finalement quelque part ils m'ont rendu service. Par la suite je fais de la contre basse formé Mr Bordenave contre bassiste de jazz, le regretté Fred Lemarchand de DKP et d'Edith Nylon mon pote de Boulogne qui va m'apprendre à jouer du rock avec qui nous passions avec mon colocataire Laurent Lesdema au saxophone et d'autres copains nos journées et nuits à jouer et nous motiver.
Premiers voyages à Scarborough (Yorkshire) en 1976 ou je découvre Mc Cartney et les Wings moi pour qui les Beatles sont juste un groupe parmi d'autres mais lui est bassiste, premières sorties en boîte de nuit, Londres 77 année du bac réussi et 1978 ou je vois les Sex Pistols et les Clash ce qui aura une grosse influence.
Retour à Paris.
Du coup je zone et par les rencontres je rentre dans plusieurs groupes parisiens ou de banlieue, rock, hard, reggae, musique africaine et punk un son tout nouveau en France je me cherche. Je jongle entre ça et des études de droit pour faire une licence en droit dans une fac parisienne pas du tout rock'n'roll plutôt à droite, on se sait jamais ce que l'avenir sera et surtout pour me payer le logement et quelques avantages comme le crous pour manger.
Alors bon en mal en j'apprends à jouer et je fais mes classes. Mais je ne trouve pas vraiment de projets emballants à Paris. Mais de nouveau je décide de m'exiler à Londres pour m'imprégner de cette culture, de la musique punk mais pas que du reggae, rockabilly, d'apprendre mon job et mon instrument et aussi la chance de voir l'émergence de tout un tas de groupes avec qui je joue, qui vont me marquer et marquer l'histoire de la musique. Et je commence à jouer dans des squats, des petites salles plus ou moins crasseuses sentant la bière et la sueur avec de nombreux groupes amateurs ou semi pros pas moins d'une vingtaine de groupes m'auront accueilli pour des concerts ou des enregistrements qui ne dépasseront pas le channel. Et un soir après un concert avec les mecs de Herne Hills un mec veut me parler. Je reviens après quelques minutes et il me fait savoir qu'il a aimé ma façon de jouer et qu'il recherche un bassiste pour son studio qu'il veut voir ce que je vaux et qu'il a possiblement un job pour moi. Rendez vous fut prit pour le lendemain. Je m'y rends sans trop savoir ce que j'allais trouvé. Et j'arrive à Soho et gros flash c'est le Trident Studios. Mythique ! Je fais un test et je suis engagé à la pige par Stephen Short tout nouveau patron du lieu pour des maquettes et overdub's sur pas mal de musiques plus ou moins bonnes, rock, punk, variétés anglaises et des sessions de toutes sortes et d'enregistrements pour et avec des musiciens parfois trop bourrés ou camés avec un autre musicien français rencontré dans les couloirs d'un studio Axel Bauer un guitariste que je ne connaissais pas que j'ai aidais un peu à son arrivée et qui faisait comme moi des piges et qui explosera à son retour en France avec Cargo de nuit. J'ai aussi un peu travaillé au Wessex ou j'ai la chance de croiser mes idoles Queen, les Clash et d'autres. Mais je fais beaucoup de technique, des évents live comme technicien lumière comme en mars 1979, sur les concerts de The Tour of Life de Kate Bush qui courent d' à mi au Royaume-Uni et la tournée européenne avec l' immense barnum de Barclay James Harvest, groupe un peu oubié aujourd'hui que je vous invite à découvrir. Mais la France me manque et les bruits qui ne reviennent par les nombreux compatriotes venus passer des week ends à Londres plus les piges que je fais par période à la SFP au théâtre de l'Empire et au Palace et aux Bain Douche (Enfants du Rock et Chorus, Ardisson) me font savoir et ressentir que ça bouge à Paris.
Alors je décide de rentrer à Paris avec plus de certitudes sur mes moyens techniques et oui la France s'est mise au rock'n'roll. Je fréquente le parking 2000, l'usine à Montreuil creusait d'ou sortiront de nombreux groupes comme la Mano Negra, les Négresses, etc etc.
Avec les rencontres et heureux hasards merci les nuits parisiennes et une petite réputation j'arrive à décrocher mon premier contrat vraiment pro en France avec le groupe Odeurs https://fr.wikipedia.org/wiki/Odeurs et Ramon Pipin des dingues mais super mecs et super musiciens et c'est très amusant.
A l'Usine de Montreuil je fréquente tous les musiciens de l'underground comme la Souris déglinguée entre autres....Je saute de groupes en groupes sans vraiment trouver ma place, encore décidemment je ne me ferais dire que la mentalité des musiciens et groupes est étriquée, absolument pas pro, j'y trouve un manque de rigueur, des heures à répéter aux anciens frigos de Tolbiac qui n'aboutissent à rien, à faire des projets aussi bien aux studios WW du quai de la gare avec Patrick Woindrich qui y enregistrait des groupes comme Indochine Oberkampf Téléphone et d'autres de la scène française ainsi qu'à Davout et Ferbert pour l'alimentaire.
Mais il me fait rencontrait Patrick Mathé qui quelques années plus tard je vais retrouver pour mon plus grand bonheur.
Mais nous n'en sommes pas là encore un peu de patience.
Faisant pas grand chose de probant depuis mon retour de Londres avec quelques économies et une petite amie de Toulouse rencontré lors d'une soirée, Brigitte, punkette à la frange rose nous écumons les lieux branchés le Bleu Nuit à Art et Métiers en début de soirée puis le Rose Bonbon ou le Gibus pour finir les nuits aux Bains Douches. Le Gibus plus pour voir les concerts car Jiry Smetana était à la pointe de la programmation musicale des Stray Cats aux Méteors ou de Police aux Inmates sans compter les groupes punks lui l'adorateur des Beatles, des allers retours à Toulouse en avion tous les week ends et c'est là que ma vie de musicien va prendre un tour sérieux, lucrative, folle et furieuse.
Un soir j'assiste seul au concert de Johnny Thunders qui s'est établi à Paris et qui fait résidence au Gibus, je ne suis plus avec ma toulousaine, j'écoute le concert d'une oreille distraite mais je comprends vaguement que le concert de Johnny ex guitariste des New York Dolls se passe mal il raccourcie le concert sous les sifflets du public. Mais moi je suis au bar avec Yves Hamelin des Wild Child, Bruno Blum musicien et journaliste entre autre pour Best et Rock n Folk, Fred Lemarchand de DKP et Jiry quand on voit Johnny qui arrive furieux et explique à Jiry que pour le concert du lendemain il lui fallait un autre et bon bassiste. Jiry se retourne vers moi et me dit mais" tu jouais de la basse toi à Londres " je lui dit que oui alors ni une ni deux Johnny me dit tu connais le répertoire des Dolls et le mien "un petit peu Sir" alors il me dit "je vais reprendre le concert de ce soir je ne peux pas laisser le public sur leur faim" Je réponds que oui je connais toutes ses chansons un peu au flan, oui j'en connais car je suis fan des Dolls. On file au petit backstage en fendant le public mais arrivé en bas il bouscule le pauvre bassiste, lui prend sa basse me la tend mais je lui dis "désolé je ne peux pas jouer sur la basse du type je suis gaucher". Et je n'oublie pas qu'il a été lui aussi bassiste qu'au premiers accords il va être à l'écoute et Il me dit " never mind " au moins 10 fois", tu as 5 minutes pour inverser les cordes, t'accorder et on repat finir le concert. Fuck si je m'attendais à vivre un tel moment à la fois super mais sous haute tension je n'y aurais pas cru.
C'est de là que mon surnom de MARCO le GAUCHER viendra et me suivra jusqu'à aujourd'hui. A la fin du set il me dit " what the hell tu connais ma musique et celle des New York Dolls" alors demain soir nous rejouons ensemble et je te garde. Mais je lui dis que ma basse Rickenbaker 4003 est en révision et il renchérie "je veux qu'à midi tu sois à l'hotel à République pour fixer la set list". Re fuck.
Alors le lendemain matin je me rends chez Marcel Dadi à Pigalle qui me fera le plaisir et la confiance de me confier une Fender gaucher et je récupère mon HH 412 et direction l'Holyday Inn pour la mise au point de la set liste avec Jerry Nolan. Et me voilà parti pour un concert sans répétitions au Gibus un Vendredi soir plein à craquer. Et c'est ainsi que me voilà embarqué dans l'aventure Johnny Thunders avec Sylvain Sylvain puis Henry Paul à la seconde guitare et Jerry Nolan à la batteuse quand Sylvain Sylvain nous quitteras après un concert au CBGB https://fr.wikipedia.org/wiki/CBGB de New York, https://fr.wikipedia.org/wiki/The_Heartbreakers_(groupe une nouvelle prise de tête avec Jerry Nolan sonnera le glas des Hearbreakers même si il fera quelques concerts comme Madrid avec Johnny. La ma vie va prendre un tournant pro et perso et surtout avec ce coté pro des anglophones que j'adore bien que nous aurons souvent des surprise avec Johnny et son addiction aux drogues durs. Petit à petit je me sens happer par la jet set parisienne avec ses défauts et avantages. Je sors chaque soir avec mes potes et copines vraiment l'insouciance, la belle vie.
Mais heureusement tu vas entrer dans ma vie.
A croire que les bonnes ondes ou simplement le karma sont au dessus de moi, une de mes amies qui travaille dans la mode me demande un samedi froid de Février de l'aider à transporter des cuirs de chez Jean Charles de Castelbajac vers un magasin de la rue d'Aboukir dans le sentier, me demande si une copine à elle peut nous accompagner, bien lui en à pris. Je suis au volant elles sortent de l'immeuble, elles entrent dans la voiture, bonjour, je ne regarde pas sa copine à peine ai je vu une petite blonde montée. Je démarre, Neuilly est paisible et à un moment je regarde dans mon rétro et là j'ai un flash. Je n'arrive pas pendant tout le trajet à éviter dans le rétroviseur de ma Jaguar XJ, acheté avec mes cachets, ce regard bleu perçant et ce joli petit minois qui va entrer dans ma vie par un coup de foudre réciproque ! Bienvenue Dalila dans ma vie de rocker un peu par effraction. Je suis comblé, je travaille pour tout un tas de musiciens, de groupes.
Et cerise sur le gateau quelques mois plus tard alors que je faisais un concert en Allemagne avec Thunders je me fais remarquer par Tom Waits qui est dans le backstage du concert https://fr.wikipedia.org/wiki/Tom_Waits et me dis "tu n'es pas qu'un joueur de rock'n'roll" et "est ce que tu joues de la contre basse" je lui réponds par l'affirmatif il m'invite à diner le lendemain soir off pour nous et après une discussion à laquelle avait pris part Ricky Lee Jones il me propose de le rejoindre en alternance avec Thunders et de jouer avec lui sur ses tournées et sur quelques dates européennes pour Ricky Lee en live.
Mais en parallèle je touche plus en profondeur les techniques sons et lumières, je m'initie, aux cotés de bons pros tout en apprenant sur le tas en étant roady de petits concerts ou à des grandes scènes comme pour les Stones ( Hippodrome de Longchamps) au Pink Floyd et tous ces grands groupes, de MJC à
Et un autre pour Téléphone sur la tournée d "Un Autre Monde" la dernière grande tournée que je ferais mais là encore nous n'y sommes pas encore.
L'intermittent du spectacle quelle aventure ! Mais je reviens au job.
Et me voilà replonger dans le grand bain des tournées partout autour du globe de Paris à Berlin en passant par New York. Une vie de dingue. Mais je suis lassé de n'être jamais à la maison Dalila à d'autres envies. Et puis arriva les retrouvailles avec Mathé de chez New Rose grand label parisien qui me propose un job de backing bass et overdub's et ingénieur du son, je vous invite à écouter la version de Hurt de Johnny Thunders sur YouTube et là je vais avoir l'opportunité de travailler pour de nombreux groupes qui arrive à point nommé par rapport à ma situation personnelle comme Gun Club, Saints, Dead Kennedys, the Cramps en passant par Bill Hurley des Inmates et bien sur Johnny Thunders bien sur et bien d'autres tout en privilégiant une vie plus stable maintenant à Paris, (je propose á ceux qui veulent une copie compilation de mon travail, mon Email est sur la page d'accueil) Et là c'est parti je retravaille pour la télé à Taratata, au théâtre de l'Empire et je fais des concerts, beaucoup de studios. Je quitte Paris pour l'Eure et Loire pour une vie plus tranquille. Et arrive 1995 ou le ciel me tombe sur la tête. Le décès de ma compagne Dalila aussi soudaine qu'imprévisible, je resterais là sur ma vie privée je n'en dirais pas plus et quelques mois après je fais une crise cardiaque du au surmenage aujourd'hui on dirait un burn out sévère.
Opération à coeur ouvert, transplantation cardiaque et une autre vision de la vie se fait jour que je veux consacrer à ma famille et aux choses plus essentielles de la vie et même spirituelle car je vais me tourner vers le bouddhisme. Et là je décide de quitter Paris de rejoindre ma famille dans le sud de la France en Occitanie ou je continuerai à faire des activités dans la musique, organisations de festivals country rock à Junas 30 avec une équipe génial et du rockabilly avec un breton Grand Dom à Vergeze 30 qui profitera de nos infrastructures et bénévoles. Je me suis reconstruit. Vous comprendrez qu'évidemment ce ne sont que les grandes lignes de mon parcours. J'ai une pensée à tous mes copains copines, ami(e)s disparu(e)s trop tôt entre les abus de drogue, le sida etc RIP.
Et si vous me demandez quel est l'un de mes plus gros délire de ces plus de 40 années dans la musique, je vous répondrais le happening pour l'hommage des 15 ans de la mort de Jim Morrison en Juillet 1986 au père Lachaise à Paris https://fr.wikipedia.org/wiki/Jim_Morrison ( section Incertitudes sur les circonstances de la mort de Jim Morrison )
Et un soir alors qu'on rentrait d'un concert avec mon ami Georges il me dit "toi qui est fan de Johnny Cash" oui je suis fan et je l'ai vu trois fois, dont Glastonbury 1994 et Montreux 1994 ou j'ai pu le rencontrer en backstage de même qu'à Berlin en 1995, et il me dit "tu sais qu'il n'y a pas de fan club Johnny Cash en France et en Europe". OK et voilà que dès le lendemain je me suis attelé à la création de ce site dédié à Johnny et sa musique https://fan-club-johnny-cash-france.blog4ever.com/ et il existe maintenant depuis 10 ans cette année (2010- 2020) grace à vous et pour vous. Merci à tous les visiteurs.
A Dalila Laïdi ma compagne, ma complice, ma muse et ma petite famille. A Alain Pacadis (Libération) mon mentor musical et Jean François Bizot (Actuel, Radio Nova) mon mentor politique, culturel et social. Le Baron Di Lima pour l'art, la peintures, les musés.....
MUST BE CONTINUED & COMPLETED...................
Johnny Thunders
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